Chez Servane et Jérémy
Bienvenue dans leur maison, une histoire de coup de coeur
Aujourd’hui, nous vous partageons l’histoire de Servane et Jérémy qui se sont lancés dans le rêve un peu fou de leur premier achat : une ancienne dépendance d’un château. Ils ont suivi leur intuition malgré l’appréhension. En grande partie rénovée, la dépendance avait surtout besoin d’une nouvelle cuisine. C’est comme ça que nous avons pu découvrir leur chaleureux logis.
Servane et Jérémy, pouvez-vous vous présenter ?
Jérémy, ingénieur commercial passionné, incarne l’énergie et la détermination : il sait porter des projets avec enthousiasme et professionnalisme. A ses côtés, je suis infirmière puéricultrice, guidée par mon amour pour le soin envers les enfants : un métier du cœur, qui me comble, même si je laisse la décoration, mon autre passion, embellir mon temps libre.
Nous avons deux enfants qui sont à l’image de la vie que nous avons construite : Gaspard, 8 ans, un petit explorateur avide de nature et de découvertes, émerveille chaque journée de son regard curieux. Apolline, 4 ans, déjà sacrée reine du charme et de l’humour à de nombreuses reprises, fait rayonner notre quotidien de ses éclats de rire et de ses réparties pétillantes.
Servane et Jérémy, racontez-nous l’histoire de votre maison et dites-nous quelle est votre pièce préférée ?
Tout a commencé un peu au hasard… curieuse de nature, je jetais un œil aux maisons à vendre, sans trop y croire. Jusqu’au jour où je suis tombée sur celle-ci. Un vrai coup de cœur. Une évidence. C’était
un rêve un peu fou pour un premier achat mais dans nos esprits, on achète une maison parce qu’on le sent, même si c’est un projet qui bouscule.
Alors on a suivi notre intuition. Cette maison c’était une ancienne dépendance d’un château en grande partie rénovée. De petite taille mais pleine de charme elle nous appelait. Le coup de cœur n’était pas que pour les murs : il venait aussi de Kathleen, la propriétaire qui y avait mis de l’âme.
Nous l’avons visitée, quittée à regret, puis finalement…elle est devenue la nôtre. Le jour de la signature est ponctué de gaité : Kathleen et nous partageons dans le salon une coupe de champagne ! Depuis, on trinque dans la cuisine (avec les verres qu’elle nous a laissé), on y range nos
souvenirs, nos éclats de rires et toutes les petites choses du quotidien. C’est notre point d’ancrage.
On s’y sent bien. Il y a cette petite taille qui rapproche, qui oblige à penser chaque recoin intelligemment. Ce que l’on aime par-dessus tout ? le séjour cathédral.
Son vide central, ses poutres apparentes, sa lumière qui inonde les volumes… un lieu ouvert, haut de plafond tourné vers l’extérieur. C’est ici que tout se passe : les repas en famille, les devoirs, les verres
avec les copains. C’est notre lieu de partage.
Comment définiriez-vous votre décoration et comment avez-vous fait vos choix ?
Je suis passionnée de déco, mais surtout de chine. J’aime les objets qui ont une histoire, les petites choses qui ne se voient pas forcément mais qui donnent du caractère. Des meubles qu’on aime, même s’ils ne plaisent pas à tout le monde. Un style singulier -parfois surprenant- chaleureux et
vivant à notre image.
J’aime marier l’ancien et le moderne, voici les éléments contemporains glissés entre deux objets de famille :
– l’établi de mon grand-père [ma grand-mère s’est toujours questionnée sur le fait de le mettre dans mon intérieur]
– la jarre en grès de ma grand-mère
– le petit canapé en rotin qui aurait dû finir à la déchèterie…
– et cette petite opaline, donné par ma maman, transmise par mon arrière-grand-mère, intact malgré les années…
Jérémy me suit dans la plupart de mes folies déco… sauf quand il pose son véto pour une couleur ou une association un peu trop audacieuse. Et il a raison parfois, car lui voir plus le coté fonctionnel.
Ensemble on trouve l’équilibre… J’imagine et lui pense à l’usage. Moi je chine, et nous réparons. Et ça marche !
C’est ça notre déco : du vécu, du sens, et du charme.
Comment avez-vous connu Oberty ?
Oberty, pour nous, c’est Gwenola, une ancienne collègue. Un jour autour d’un repas, elle m’a lancé : « Mais moi, je peux vous dessiner une cuisine à votre image ! ». Et elle l’a fait.
Avec écoute, patience et confiance, elle nous a accompagnés à chaque étape du projet. Pas de pression, pas de regrets. Un accompagnement humain et bienveillant.
Votre mot pour conclure ?
La rénovation n’est pas finie : Maintenant, on rêve des extérieurs. Un carport, peut-être même une piscine. Et naturellement, on se tourne encore vers Oberty pour concrétiser ces futurs projets. Parce qu’un lieu de vie ça évolue et ça grandit !
